Dans la série « réfutation des dogmes », une tâche par définition impossible, un essai vient de paraître dans lequel les arguments supposés des sceptiques et les questions critiques ignorées par les crédules sont passés en revue. Je vous invite à en prendre connaissance.
L’activisme climatique a pris un élan qui en fait maintenant un thème politique inévitable, dûment inclus dans tout positionnement électoral, quelle que soit l’orientation partisane de chacun. L’écologisme s’en nourrit qui y agrège tous les maux de la terre, des pollutions locales à la biodiversité générale ou aux dérangements chimiques ou hormonaux.
À entendre les alarmistes, l’état d’urgence serait à instaurer afin que des mesures soient prises sans délai ni autres considérations.
Deux facteurs primordiaux et critiques fondent toute opinion que l’on puisse avoir sur la question climatique :
Une politique climatique sera bien différente selon les valeurs retenues pour ces facteurs. Il semble hélas qu’ils soient systématiquement exagérés, tant par des experts dont la science est loin d’être définitive que par les milieux médiatiques et politiques.
Toute critique est malvenue et s‘y risquer vaudra à l’intrépide le titre diffamant de négationniste. Dans cet essai, réfutation est néanmoins offerte aux arguments les plus répétés par ceux qu’il faut bien appeler climato-dogmatiques puisqu’ils refusent l‘idée même d’en débattre.
Si un jour le monde devra bien s’être sevré des carburants fossiles, la voie à suivre n’est ni celle de l’hystérie ni celle de la négligence. Il n’est pas non plus souhaitable de se laisser tenter par des méthodes totalitaires pour imposer des objectifs et des moyens bien contestables.
Un prospectus peut être téléchargé ici. Cliquez ici pour en visionner un extrait.Cet essai est en vente (car rien ne saurait être gratuit) :
À commander par internet sur le site climate.mr-int.ch ou par courriel à : contact@mr-int.chÉditions MR, Kaiseraugst 2019.