CLIMAT

ma position

Température

Suivi des mesures des températures et mes représentations originales.

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Arguments

Savoir de quoi l'on parle et 
le dire.

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Points de vue

Comprendre ce que prétendent les autres afin de se comprendre soi-même.

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Hystérie

Une politique fondée sur la peur est immorale, inefficace et contre-productive.

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Le problème que pose le climat est
qu’il change et qu’il faille s’y adapter.

Le problème de la crise climatique est
d'être une construction politique mal fondée.

Les faits

  • Un réchauffement global est observé depuis le début de l’ère industrielle, qui coïncide aussi avec la fin du petit âge glaciaire.
    Il est de l’ordre de 1 °C, plus intense sous des latitudes élevées.
    Il se manifeste aussi par une fonte des glaciers et des calottes glaciaires, un raccourcissement des cycles agricoles et des migrations d’espèces vivantes.
  • L’activité humaine est la cause d’émissions en masse de gaz dits à effet de serre (GES).
    Il en résulte une augmentation de leur concentration dans l’atmosphère, le principal étant le CO2 ayant passé de 280 ppm à maintenant 415 ppm. Elle augmente d’environ 2,5 ppm chaque année par des émissions de l’ordre de 40 milliards de tonne de CO2.
    Environ 45 % du CO2 émis s’accumulent dans l’atmosphère, le reste est d’ores et déjà séquestré par la biomasse et les océans.
  • Ces gaz induisent un forçage radiatif lié à leur absorption du rayonnement infrarouge terrestre (métaphore de l’effet de serre). Le réchauffement qui en résulte peut donc être attribué aux activités humaines (anthropiques).

Au moins dix questions en suspens (unsettled)

  1. Sensibilité du climat aux facteurs naturels et humains.
    Traitement correct des rétroactions ?
  2. Accumulation ou décharge transitoire de chaleur excédentaire dans les océans.
    Quelle part de faits établis ou de soldes de calculs incertains et imprécis ?
  3. Utilisation systématique de modèles pour obtenir des valeurs expérimentales(sic).
    Quelle est leur validité ?
  4. Impact socio-économique réel du réchauffement global et local.
    Est-ce si grave ?
  5. Scénarios concernant les émissions, les utilisations de l’énergie et les transformations futures.
    Dans quelle mesure sont-ils plausibles ? Pourquoi l’inimaginable sert-il de référence ?
  6. Attribution systématique d’événements naturels au changement climatique d’origine humaine.
    Vraie ou faussée (faked) ?
  7. Sentiment d’urgence climatique.
    Vrai ou faux à d’autres fins ?
  8. Validité et faisabilité des objectifs climatiques.
    Hubris ou moyen de contrôle social ?
  9. Efficacité des politiques climatiques.
    Atténuation (mitigation) ou adaptation ?
    Et l’économie dans tout ça ?
  10. Réduction de toutes les perspectives humaines aux questions climatiques.
    Pas d’autres priorités plus importantes ?  

Il ne s’agit pas de jouer les savants en lieu et place des représentants officiels du GIEC ou des chercheurs en climatologie. Simplement, un observateur quelque peu attentif ne peut pas se contenter du narratif climatique qui lui est servi jusqu’à plus soif.

Mon hérésie

C’est mon hérésie que de douter du rôle prépondérant que les experts attribuent aux GES, donc à la haute sensibilité que le climat montrerait en réponse à la hausse de leur concentration dans l’atmosphère. Elle suggèrerait un proche point d’instabilité du système climatique face au CO2 que ni l’histoire de la planète ni les paramètres physiques y intervenant ne permettent d’affirmer.

Uniquement estimée par le truchement de modèles, cette sensibilité, est vastement exagérée. Des cas clairement établis de comparaison entre la réalité observée et les évaluations rétrospectives par les modèles prouvent l’invalidité de ces derniers et l’existence d’erreurs systémiques en leur sein.

Ainsi, ma position est exactement conforme à celle du mainstream climatique qui prétend à un « consensus scientifique. »
Me traiter de sceptique ou de négationniste tiendrait donc de la calomnie et pourrait faire l’objet de poursuites pénales contre ceux qui publieraient cela de mauvaise foi dans l’intention de discréditer ma personne.

Au contraire de ce que prétendent certains scientifiques engagés,
la compréhension du climat et de son évolution
n’est de loin pas satisfaisante.
"Climate science is not settled"

Usage inapproprié de modèles invalides

C’est pourquoi l’utilisation de ces modèles invalides est inappropriée, voire scandaleuse, pour simuler des scénarios dans le futur qui induisent à mettre en place des « politiques climatiques » erronées.
De plus, le choix délibéré de scénarios irréalistes, mensongèrement nommés business as usual, permet de faire croire à un avenir catastrophique, ce qui est non seulement une faute épistémologique mais aussi un mensonge politique.
Cette utilisation prospective n’a rien de scientifique, et l’aval qui y est donné par des scientifiques est irresponsable.

Politique climatique adéquate

Viser à la mise sous contrôle du climat par la variable CO2 tient de l’hubris ; cela mène à une politique inutile et dangereuse car inefficace, excessivement coûteuse et totalement injuste.

Une politique climatique raisonnable ne doit pas consister en une panique qui requerrait l’application immédiate et radicale d’un principe de précaution absolue. Je m’oppose donc à l’illusion d’une « urgence climatique » qui nécessiterait, quoi qu’il en coûte par ailleurs, de réduire les émissions de CO2 à un net zéro d’ici le milieu de ce siècle.

Mon hérésie est aussi de ne pas considérer les seuls effets néfastes qu’auraient les changements climatiques sur nos vies mais aussi les effets bénéfiques qu’ils peuvent induire.

Alors que le climat évolue lentement et de manière imprévisible, c’est par une stratégie d’adaptation à tout changement qui puisse survenir que réponse doit être donnée aux défis climatiques. Cela concerne principalement l’énergie, l’agriculture, l’aménagement du territoire et l’urbanisation.

Politique énergétique raisonnable

Il est néanmoins nécessaire et raisonnable de réduire la dépendance des énergies primaires d’origine fossile et de mettre en place des alternatives permettant d’éliminer l’accroissement anthropique de la concentration des GES dans l’atmosphère.
Bien que sans urgence, quoiqu’important aussi d’un point de vue géopolitique, c’est suffisamment sérieux pour justifier d’intenses recherches et travaux de développements industriels afin que ces alternatives soient viables à long terme, tant techniquement qu’économiquement, et sans devoir recourir ni à des rationnements ni à des artifices fiscaux et des dettes publiques pour les maintenir.
À cet égard, les diverses « transitions énergétiques » édictées dans plusieurs pays sont particulièrement inadéquates.

Mon site avec détails sur le climat,
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Les modèles surchauffent

Évidente surestimation de la sensibilité du climat aux émissions humaines et reconstructions invalides

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