LA GRANDE ILLUSION DU SAUVETAGE DE LA PLANÈTE PAR UNE REMISE À ZÉRO

Comment les cercles économiques et financiers se laissent convaincre avec complaisance

Un essai original à lire attentivement

Par votre serviteur.

Depuis leurs débuts, les mouvement écologistes montrent une allergie face aux réalités économiques et financières des politiques qu’ils proclament. Un grand exercice de récupération est en cours qui s’approprie les thèmes environnementaux et climatiques afin de mettre à l’ordre les cercles de l’économie et de la finance.

Dès lors que de de tels cercles s’en emparent, il faut se demander si les termes d’un débat qui n’a pourtant jamais lieu sont les bons, en particulier l’exploitation d’un diagnostic de catastrophe à des fins de mobilisation financière.

C’est pourquoi j’ai commis un essai traitant de ce sujet dans l’intention de commencer à y comprendre quelque chose.

Une présentation est accessible ici, tout comme les liens permettant de commander ce livre auprès de l’auteur ou chez Amazon.

L’auteur remercie par avance ses aimables lecteurs de faire connaître cet essai au public le plus large possible.


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3 thoughts on “LA GRANDE ILLUSION DU SAUVETAGE DE LA PLANÈTE PAR UNE REMISE À ZÉRO”

  1. À lire le commentaire de Monsieur Frédéric Sommer à propos cet essai et qui estime que Michel de Rougemont inverse les problèmes, je ne pense pas que ce soit ici la question.

    A mon avis, il est plus utile de rapprocher les 2 approches analytiques pour couvrir globalement un phénomène insensé qui entend aujourd’hui présider à la gouvernance de nos pays occidentaux, les pays non occidentaux n’y étant guère intéressés, sauf à percevoir le moyen de se financer sans avoir à se pousser.

    On comprend donc rapidement
    a. que certaines mouvances idéologiques occidentales ont déniché, dans le sauvetage postulé de la planète, une opportunité de réalimenter leurs marchés politiques;
    b. que d’autres mouvances, prétendument scientifiques, ont trouvé, via ces mouvances idéologiques et ces marchés politiques, le moyen de prioritairement financer des recherches et des publications ;
    c. que cela fait aussi l’affaire de groupes de pression et de ceux qui se croient compétents pour diriger la planète ;
    enfin, et parce qu’il fallait bien s’y attendre,
    d. que cela a évidemment et rapidement éveillé l’intérêt de quelques milieux économiques qui ont vu, à leur tour, l’opportunité d’y faire leur beurre…
    Ce qui est utile et profitable lorsque ce beurre confère à des produits et des services une effective compétitivité et une indéniable valeur ajoutée mais ce qu’il faut savoir interroger quand on finance, via des subventions publiques, sans préalable débat, sans solide confrontation scientifique et sans réelle approbation démocratique, des mouvances et des activités qui utilisent la peur et qui ciblent la soumission comme vecteurs de communication.

  2. A lire vos présentations de votre livre , je pense que vous inversez les problèmes ; les histoires de climat qui se réchauffe ne sont pas le fruit des études de scientifiques , ce sont les politiques de Davos et de l’ONU qui sont à l’origine de cette pandémie climatique ; les scientifiques se sont vite convertis à cette philosophie grâce aux subventions qu’ils ont reçu pour leur travaux , missions congrès et carrière etc…
    Les politiques qui ne sont pas des idiots ont inventé ce futur catastrophique pour taxer de plus en plus le fossile (pétrole gaz et charbon) et ce qui en découle, électricité en premier; d’ailleurs le patron de TOTAL Energies a vite suivi le pas aux politiques et aux scientifiques pour se promouvoir aux avants post des fournisseurs d’énergies renouvelables ; de toute façon quel que soit leur prix , pétrole , gaz et charbon seront exploités jusqu’à la dernière goutte, bulle ou pelletée, même si les écolos changeront d’avis un jour concernant la propreté du nucléaire
    Amitiés
    Frederic Sommer

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