Énergies intermittentes: une alternative pour sortir du nucléaire et réduire les émissions de gaz carbonique ?

Une quadrature d’un cercle inutile!

Apparemment il faut réduire les émissions de CO2. Cet impératif semble être devenu une vérité supérieure immuable, un dogme.

En parallèle, suite aux frayeurs ressenties après Tchernobyl et Fukushima, certains pays tels que l’Allemagne et la Suisse s’engagent maintenant vers la sortie du nucléaire. C’est aussi devenu un impératif quasiment moral.

Pourtant je m’attèle ici à l’incommensurable tâche de remettre ces questions sur la table, quelle hérésie !

C’est dans un tel contexte que les énergies alternatives sont l’objet de beaucoup d’attention, de subventions, et d’espoir pour la salvation de la planète. Étant bonnes par définition on pourrait croire qu’elles n’entraînent que des externalités positives. Cela restera à voir.

Ces énergies alternatives utiliseront deux sources connues et, à vues humaines, infinies : la géothermie et l’irradiation solaire.

Lire la suite en téléchargeant le document suivant: Énergies intermittentes

En résumé les conclusions sont:

  • Le géothermique restera une niche
  • Ayant une production intermittente, le solaire et l’éolien ne peuvent pas couvrir toute la demande tout le temps.
    Donc pour chaque kW installé en source alternative il faut une capacité de réserve de 1 kW en source classique, à disposition à tout moment.
  • Ces investissements additionnels doivent être composé dans le coût de production des énergies dites alternatives (externalité négative).
  • Le réseau de distribution doit être adapté à des intermittences plus fortes que 25-30% de la charge de base. Il n’existe pas de telle solution à ce jour.

Les énergies alternative seront donc au mieux un complément utile aux sources classiques, au pire un énorme gâchis.


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