Encore le climat !
Il est temps de sonner la retraite et de démobiliser les troupes qui désirent combattre les changements climatiques.
Une liste d’arguments et de recommandations est téléchargeable ici (en français et en anglais).
À distribuer le plus largement possible !

Les voici :

IL FAUT ARRÊTER DE LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES !

Pourquoi :

1. Le climat varie fortement depuis bien avant le début de l’ère industrielle et les causes n’en sont toujours pas élucidées (chaude période romaine, période froide du moyen âge, optimum médiéval, petit âge glaciaire).
   Tout aussi inexpliquées sont les causes de début et de fin d’ères glaciaires antérieures, la dernière finissant il y a 12 000 ans. Le QUOI est abondamment décrit alors que le POURQUOI en reste à des hypothèses.
2. La phase de réchauffement actuelle (+1°C depuis le milieu du XIX^ème siècle) est accompagnée par la montée du niveau des mers et la fonte des glaciers qui ont débuté significativement avant les émissions massives de CO₂ dues aux activités humaines.
3. Personne n’est en mesure de déterminer si un changement climatique aurait des conséquences néfastes ou bénéfiques pour la vie humaine.
4. Un calcul simple et vérifiable de bilan thermique et de forçage radiatif indique que le CO₂ ne contribue au réchauffement actuel observé que pour moins de 30% ; selon les paramètres, cette contribution pourrait même être très inférieure.
5. Il y a d’autres causes, encore inexpliquées, qui sont plus déterminantes et contre lesquelles l’action humaine est impuissante.
6. Les modèles sophistiqués utilisés par le GIEC sont des fictions in silico, non validés par les observations ; il est donc dangereux d’en tirer des conclusions sur d’hypothétiques scénarios pour le futur.
7. Restreindre drastiquement la consommation de carburants fossiles n’aurait pratiquement aucune efficacité mais entrainerait certainement des conséquences sociales et économiques désastreuses.
8. Il y a d’autres priorités pour le développement dans le Monde, bien plus urgentes et importantes que l’hypothèse anthroporéchauffiste : santé, sûreté, éducation, pauvreté, paix, liberté, qualité de l’environnement immédiat.
9. Il n’y a pas de but: personne ne peut définir le climat «juste» à contrôler, ni le «faux» à éviter.
10. Il est raisonnable de développer des sources d’énergie plus durables que les carburants fossiles, tant que cela se fera dans un contexte économique et technique non faussé par des dogmes technologiques et du dirigisme étatique.

L’INACTION CLIMATIQUE
est plus morale que toute autre forme d’activisme.

EN CONSÉQUENCE DE QUOI IL FAUT IMPÉRATIVEMENT :

• Cesser de craindre un réchauffement anthropique catastrophique.
• Cesser de blâmer les usagers de carburants fossiles émetteurs de CO₂, et continuer de consommer énergie et autres ressources de la manière la plus sobre possible.
• Démanteler le GIEC et la CCNUCC: ils n’ont plus aucune raison d’être.
• Continuer à jouir de la vie sur Terre et d’en améliorer les conditions.
• Continuer d’étudier et de surveiller l’évolution du climat.
  Mais en restant lucide: il faudra des siècles pour, peut-être, arriver à des théories concluantes.
• Continuer de développer de nouvelles technologies et d’améliorer les anciennes.
• Continuer d’être prêt à faire face à des catastrophes naturelles et soudaines.
• S’adapter pragmatiquement aux changements qui l’exigent.
• Cesser de vouloir imposer des vues totalitaires au Monde entier.

 

Les climats varient lentement, et ce n’est dû qu’en faible partie à des causes humaines.

 

Aucune planète n’est à sauver, aucune «victime climatique» n’a été identifiée à ce jour.

 

Attribuer toute variation météorologique au changement climatique est une escroquerie.

 

Tout accord mondial sur le CO₂ est à rejeter comme fallacieux, inutile et injuste.

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