Il y a faux négatifs, mais aussi faux positifs, et surtout oubli de la fréquence de base et par-là risque de surdiagnostics ! Il ne faudrait pas laisser courir dans la nature les faux négatifs, ni mettre en quarantaine les faux positifs mêlés à de vrais positifs. Quant aux vrais négatifs, si on les relâche, ils ne perdent rien pour attendre… Hélas ! la majorité de la population est actuellement dans cette situation. https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or%C3%A8me_de_Bayes#%C2%AB_Faux_positifs_%C2%BB_m%C3%A9dicaux https://fr.wikipedia.org/wiki/Oubli_de_la_fr%C3%A9quence_de_base https://fr.wikipedia.org/wiki/Faux_positif#Risque_de_surdiagnostic Finalement, je pense que ce qui impressionnera favorablement le public ce sera le décompte des cas guéris. Dans le cas du virus actuel, avec une mortalité d’environ 4 à 5% des cas infectés (4% en Chine et actuellement 5% au niveau mondial), ce sera l’élévation progressive du pourcentage des cas guéris vers la limite de 95-96% qui sera un bon signal à suivre au long des jours qui viennent. À ce jour la Chine en est déjà à 93% (en 92 jours, officiellement !), l’Italie à 15% (en 61 jours), la France à 18% (en 68 jours), la Suisse à 11% (en 36 jours) et le Monde, en moyenne à 21%. Reply
On me dit que les faux positifs sont extrêmement rares dans le cas de la méthode rRT-PCR. C’est très important pour les maladies de très faible morbidité, là où plus de 99 ou 99,9% de la population n’est pas atteint. Reply