Mes compliments au dr. Michel De Rougemont pour cet article très intéressant et important. Je recommande aux lecteurs aussi la lecture d’un article récent du prof. Martin Schlumpf “Noch ein weiter Weg bis zur Wasserstoff-Wirtschaft”, novembre 2023. Reply
Bravo pour ce nouvel article, fort intéressant. J’aimerais pousser la drôlerie en rajoutant, ainsi que vous le dites, que « ça produit de la vapeur d’eau dont personne n’a peur » ; or la vapeur d’eau est le principal GES. Ce paradoxe du carburant « propre vs pas propre » n’est jamais présenté de la sorte par les carbocentristes ! Pas plus d’ailleurs que le bilan du cycle de production que vous avez bien décrit (et c’est la même chose pour les « biocarburants ») Reply
Je crois que les 4e- sont de trop… Il y a 16 électrons en jeu dans les molécules des deux membres de la réaction. Reply
Dans l’électrolyse les électrons « font un tour » ! Leur bilan reste nul par conservatuion de la charge : Réactions : Oxydation à l’anode (reliée au pôle + du générateur) : 2 H 2 O (liquide) → O 2 (gaz) + 4 H + (aqueux) + 4 e − Réduction à la cathode (reliée au pôle – du générateur) : 4 H 2 O (liquide) + 4 e − → 2 H 2 (gaz) + 4 OH − (aqueux) Globalement : 2 H 2 O (liquide) → 2 H 2 (gaz) + O 2 (gaz) C’est finalement une énergie (C x V = J) qui est absorbée, les produits étant plus riches en énergie que l’eau initiale, mais pas plus riches en électrons ! Reply