Alors que l’année se déroule particulièrement sèchement, les médias et les politiciens, avides de causes célèbres, décrètent qu’une preuve indubitable est maintenant donnée sur les méfaits des activités humaines causant le réchauffement climatique.
De tels raccourcis ne sont pas exceptionnels. En effet, le mensonge, dans ce cas par intention coercitive ou par clientélisme, n’a jamais cessé d’être à la mode, renforcé maintenant par les caisses de résonnance des réseaux asociaux. Tout épouvantail est bon pour nous blâmer de nos abominations climatiques et environnementales et pour nous inciter à des actes de repentance.
Rien pourtant ne permet d’attribuer les sécheresses européennes (et d’ailleurs) au changement climatique, donc encore moins aux activités humaines qui le provoqueraient. Alors que les experts du GIEC ne commettent pas de telles fautes, plusieurs scientifiques engagés et médiatisés laissent courir cette interprétation, certains mêmes étant disposés à mentir pour leur cause. Les médias et les politiciens n’effectuant pas leur travail de vérification, il faut le leur servir sur un plat.
C’est ce que fait Roger Pielke Jr, mathématicien et politologue en sciences de l’environnement, dans une série à propos de ce que les médias ne publieront pas à ces sujets. Voici une traduction en français de son article à propos de la sécheresse en Europe occidentale et centrale, publié avec son autorisation.
Il ne fait pas de doute à mes yeux que Pielke a doublement raison :
Qu’il en soit remercié !
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