En effet, une année de récession économique, donc carbonique, n’a pas d’impact détectable facilement dans un système de grande inertie Reply
On constate que le document contient ses propres contradictions puisque d’une part, on extrapole selon différents modèles l’évolution des températures globales depuis l’année en cours jusqu’à 2100, et que d’autre part, on indique que tout changement vers une diminution de ces t° se fait à l’échelle du siècle voire du millénaire. Ainsi, toutes les mesures de réduction des GS ne serviront à rien au niveau du changement espéré. La résistance du CO2 à vouloir baisser en fonction des baisses d’émissions est, de plus, très élevée puisque les baisses d’émissions en début 2020, qui sont exceptionnelles, n’ont pas entraîné un iota de baisse en 2020 de la proportion de CO2 atmosphérique. Pourtant,le système réagit très vite puisque les proportions baissent naturellement de 4ppm environ entre mai et septembre, ce qui est environ l’équivalent des quantités émises par an (4ppm correspondent à 28,48Gt de CO2). Quant à parler des t°, il faut croire en l’équation de la concentration en CO2 (en x) et la t° (en y), alors que c’est la t° la variable dépendante! . Reply
@ M. Dulieu Si les émissions de CO2 ont baissé de 2.4 GT (nombre que l’on trouve sur internet), ça ne fait que 8% des 4ppm par an, donc pas vraiment détectable. Non ? Reply