Dans le chapitre « une étude vient d’être publiée qui… » il y en a deux qui ne feront pas la une des médias à sensation et qui s’exposent à de graves critiques par les hiérarques climatiques. Elles sont dédiées à l’évaluation des modèles climatiques qui ont été raffinés une fois de plus afin d’être commentés et utilisés dans le sixième rapport d’évaluation (AR6) du GIEC attendu en 2022. Les deux études corroborent ; elles concluent sans détour que la sixième génération de modèles CMIP6 (Coupled Model Intercomparison Project) ne s’est pas départie des gènes de surchauffe déjà constatés dans les générations antérieures.
Cet article se doit d’être un peu technique, n’en déplaise aux lecteurs préférant ne pas avoir à se coltiner les concepts sous-jacents. Sauter aux conclusions est tout à fait possible, mais suppose donc que crédit indéfectible soit accordé à ce qui est relaté ici.
En référence : ma position à propos du climatainsi que l’article publié à ce sujet en 2017.
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