Formidable, bien plus que brillant : somptueux d’intelligence des « choses », et non d’intelligence tout court dont on s’affuble comme d’un chapeau, celle qui n’existe jamais sans « choses » à comprendre, à dire, à imaginer, etc… Sans le vouloir et probablement sans le savoir, vous faites une illustration assez adéquate de (peu importe les détours pour le comprendre) « La conscience est le dernier stade d’évolution de l’organique », aphorisme de qui vous savez, et dont je suspecte Descartes d’en avoir été TROP certain, jusqu’à le dissimuler dans son « cogito ergo sum », évacuant ainsi tout risque de brûler au bûcher en son temps. Il y en aura toujours, de ces bûchers, tant que nous voudrons vivre, « libres de … » (à chacun sa chaîne). Bravo et merci, Monsieur, Persoreille Reply