La mainmise étatique semble bien le motif principal de certains membres du GIEC, à monter l’affaire de l’effet de serre, qui en 2020 s’est révélé chimérique; le scénario à base de CO2 imaginé par les fraudeurs de 1995-1996 devient limpide, manifestement à notre détriment ! Après lecture des travaux des Pr. Pont en histoire des sciences et Reinhart en physique, la conclusion: les climatologues, le GIEC (peut-être) et toutes les nations se sont fait rouler dans la farine par un escroc incroyablement habile. Le CO2 et autres gaz, cités dans notre loi et dans les ordonnances qui l’accompagnent, ne présentent pas d’effet de serre (selon sa définition en physique) et donc cette loi en est invalidée; de même le traité de Paris en est largement vidé de sa substance. Les investissements qui vont devoir être engagés en Suisse ont été évalués par l’OFEN à 109 milliards d’ici 2050: c’est cher payé le dérapage fédéral à propos de climat, conséquence du dérapage du GIEC … Reply