presque tout est OK mais « » le fameux CO2 dont la concentration a augmenté de 46% (de 280 à 410 ppm par volume) par le biais d’émissions causées par l’activité humaine. Cela non plus ne fait pas l’objet de réfutations bien fondées. » » la réfutation fondée est que l’équilibre entre le CO2 de l’atmosphère et des océans chauds dépend de la température des océans : si la température monte, ce qui est le cas, les océans dégazent. Le CO2 humain ne fait que freiner le dégazage d’équilibre. Reply
Votre réfutation n’est pas valable. Ce qui se passe depuis le début de l’ère industrielle est que, par l’action humaine, on déstocke du CO2 qui avait été fixé au cours de millions d’années sous forme de carburants fossiles. Ces émissions ne font pas de doute, leur quantité est bien connue (les consommations de charbon, pétrole et gaz, la fabrication de ciment et les changement d’affectation des territoires, p.ex par déforestation). Un simple bilan matière montre que si tout ce qui a été émis était resté dans l’atmosphère, la concentration en CO2 serait bien plus élevée qu’elle ne l’est. Or seulement env. 45% restent dans l’air et 55% sont fixés par la biomasse terrestre et par les océans. Alors, même si la physique nous dit qu’une désorption du CO2 devrait résulter d’une élévation de température des mers, ce phénomène est occulté par la masse des émissions d’origine humaine. Reply
Selon le rapport AR5 du GIEC, page 471, figure 6.1, nos émissions anthropiques ne sont que de 4% environ du total des émissions. C’est très gênant, car cela veut dire que les politiques climat-énergie sont inutiles. Alors adieu, veau, vache, cochon, couvée, adieu le lucratif business vert…Pour éviter de détruire le dogme du réchauffement climatique anthropique et son business, le GIEC a ignoré les quelques 40 publications scientifiques donnant, en moyenne pondérée, un temps de séjour de 8 ans au CO2 anthropique, et il a décidé qu’elle est de 100 ans au moins, ce qui permet alors de justifier les politiques climat-énergie, en supposant bien sûr une action réchauffante mesurable du CO2, action toujours non scientifiquement prouvée. Reply
Totalement d’accord avec vous. J’ai d’ailleurs publié la copie de votre article (avec référence à son auteur) ici http://jlduret.ecti73.over-blog.com/2020/02/le-business-du-climat-est-plus-fort-que-tout.html Reply