La stratégie énergétique que le Conseil fédéral a concocté est délétère.

Elle doit être retoquée:

• en disant NON le 21 mai prochain à la révision de la loi sur l’énergie ;
• en refusant de ratifier l’accord de Paris sur le climat ;
• et en révisant de fond en comble les lois sur environnement et CO₂.

Elle se base sur trois piliers :

1. Des lobbies multiples et affluents de gens et groupes intéressés à croquer une grosse part d’un gros fromage
2. L’abandon à terme du nucléaire (Technologieverbot)
3. Le pseudo-sauvetage de la planète et de son climat méchamment déréglé par l’activité humaine.

C’est une prise du pouvoir par les idéologies anti-progrès, celles d’un écolo-totalitarisme qui sait mieux que tous le bien dont nous avons besoin.

Faire tomber les deux prémisses nucléaires et fossiles et la SE2050 n’a plus de raison d’être.
Et il devient inutile de discutailler les modalités, les coûts etc.
Si je n’ai pas de pyramide à construire je n’ai pas besoin de plans, d’ingénieurs et de finances.

Mais il faut lutter contre les corps qui se sont constitués et vivent de ça : advocacy research (en science et en économie), green– et cleantech, politiciens irresponsables (ils seront morts avant de devoir rendre des comptes), NGO à tendances fascisantes, médias compagnons de route comme aux meilleurs temps du Komintern.
Pour ces groupes-là je ne vois pas d’argumentation rationnelle. Il faut débusquer les intérêts particuliers et les dénoncer. Les attaques à la personne sont inévitables. La guérilla.

Résumé des arguments:

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