Si seulement de remplacer Mme Sommaruga ou même le Conseil fédéral suffisait ! À la tête des entreprises nous avons un problème du même ordre, sans parler de la direction des partis. C’est une reconquête des esprits de nos concitoyens qu’il faudrait entreprendre avant de pouvoir lancer des projets pour améliorer notre garantie d’approvisionnement. Cela prend du temps… À moins que la pénurie soit suffisamment douloureuse et alors cela pourrait aller plus vite ☺️ Néanmoins à court terme, il n’y a pas de solution bon marché et évidente. Reply
Bien sûr que du côté entreprise il y a beaucoup à faire. Vous aurez noté mes piques envers l’administration et les sociétés du secteur (principalement électrique et gazier, les pétroliers sont plutôt un cartel non industriel). Dans le reste de l’économie, les grosses et moyennes entreprises ont d’autres horizons que l’étroite Suisse, et les petites sont sans voix ni pouvoir. Reply
bien vu; exactement cela; pas de courage, pas de vision; juste la pensée magique pour se faire bien voir; il y a longtemps que je pense que Madame Sommaruga ferait mieux de reprendre le piano: mais qui à sa place Reply
On tomberait de Charybde en Scylla, soit avec a) soit avec b), c-à-d. que le nouvel élu au CF pourrait être Roger Nordmann, « spécialiste reconnu en matière d’énergie », ou « Monsieur solaire », selon la presse main stream. Dans le Parlement tout le monde le prendra pour le sauveur… Mais il ne sait pas lui-même ce que ses 44 TWh en PV représentent — selon son livre « Le plan solaire et climat », au sous-titre quasi magique « Comment passer de 2 à 50 GW pour remplacer le nucléaire, électrifier la mobilité et assainir les bâtiments » —, objectif prévu pour 2050, représentant 250 km2 de modules PV. Cela implique aussi de devoir mettre en service chaque jour, tous les jours, jusqu’en 2050, pas moins de 4,88 MW ou 24’400 m2 de modules PV, soit aussi 489 installations domestiques de 50 m2, je dis bien chaque jour non stop. On s’apercevra, trop tard bien sûr, que le roi est nu ! Reply