Non-nouvelle : les températures du globe restent moyennes

Après une année 2020 réputée la plus chaude depuis des temps immémoriaux et dont se sont gaussés les alarmistes pour réitérer leur catéchisme, la non-nouvelle du premier semestre 2021 est qu’il n’a été ni trop chaud ni trop froid par rapport à la moyenne des trente dernières années.

Série de mesures par satellite (NASA, Université d’Alabama à Huntsville)
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Cela n’a aucune signification climatique, même s’il pleut beaucoup ici, que la Colombie britannique et Arkhangelsk aient eu un coup de chaud ou que les Californiens laissent brûler les matières inflammables. Mais il n’est pas inutile de rappeler que toutes les attributions de ces événements à la cause anthropique du changement climatique ne sont que de la charlatanerie. Car en science, une hypothèse non démontrée doit rester nulle, même si l’on peut la penser plausible. Les climatologues en mission politique ont décidé de ne plus suivre cette règle, cela s’appelle trahison des clercs.

Où sont les communiqués de presse clamant l’actuel manque d’anomalie aux températures du globe ?


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1 thought on “Non-nouvelle : les températures du globe restent moyennes”

  1. « La liberté, c’est la liberté de dire que deux et deux font quatre. Lorsque cela est accordé, le reste suit. » George Orwell (« 1984 »)

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