Mise à jour 11 novembre 2020.
Vague suisse en forte récession depuis une dizaine de jours !
C’est significatif.
Les données de l’Office fédéral de la santé publique se trouvent à
https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/krankheiten/ausbrueche-epidemien-pandemien/aktuelle-ausbrueche-epidemien/novel-cov/situation-schweiz-und-international.html

Il y a en particulier un tableur Excel qui indique les cas et les décès mais aussi les hospitalisations par classe d’âge.

Il me faut constater une incohérence entre les données actuelles et les propos alarmistes des autorités qui aggravent les mesures sanitaires au détriment de tout le reste : psyché, vie sociale et culturelle, économie.
Les données passées au Centre européen de prévention et de contrôle des maladies diffèrent fortement de celle publiées sur le site de l’OFSP. De qui se moque-t-on ?

La pesée d’intérêts que le politique doit faire doit elle toujours subir l’acharnement thérapeutique?

À part le dilemme à ne pas avoir, trier les patients en réanimation si les capacités sont saturées, quel est l’objectif poursuivi face au risque que pose cette maladie comparée à d’autres ?

Le dernier rapport que j’ai interprété est ci-dessous.
À relever : alors qu’en 2018 les décès des 80+ ans s’élevaient à 9321 pour les homme et 8259 pour les femmes, ceux qui sont attribués au Covid-19 depuis le début de l’épidémie en 2020 s’élèvent pour cette classe d’âge à 499 hommes et 289 femmes (au 05.11.20).
Pour un « groupe à risque » c’est donc très relatif (respectivement 5,4 % et 3,5 % du total) ; à cet âge on meurt de bien d’autres choses que des effets de ce virus. Pourquoi instille-t-on la peur pour ces quelques pourcents et non pour le reste ? Ou alors n’est-ce qu’un début de l’application de la précaution absolue, celle qui préfère ne pas vivre plutôt que mourir ?
De qui se moque-t-on ?

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