Mes félicitations, pour avoir fait les rappels nécessaires à la réalité physique et économique de la « filière hydrogène » ! Il manque au tableau deux faits des plus gênants: – L’hydrogène est très difficile à confiner de manière sûre, des installations vieillissantes vont faire de probables pertes en gaz importantes. Le gaz de ville d’autrefois était un mélange de CO (très toxique) et d’hydrogène, doté d’odeur affreuse par des mercaptans: très dangereux, mais finalement peu répandu. Utilisé dans des moteurs ou dans des piles à combustible, le rendement global de la filière hydrogène, par rapport à l’énergie investie pour le fabriquer, est de moins de 15% … – L’hydrogène, à cause de ces pertes, montera dans l’atmosphère et va attaquer la couche d’ozone; c’est l’intensité du phénomène, qui obligera tout-à-coup à devoir abandonner brutalement tous ces investissements … Documentation (2014 et 2018): blog « Toutes les énergies », article: https://www.entrelemanetjura.ch/BLOG_WP_351/hydrogene-donnees-scientifiques-et-techniques/ + Bibliographie Reply
Ottimo articolo. Finalmente un esperto informa il lettore su tutti gli aspetti dell’idrogeno. Innanzitutto occorre sapere che l’idrogeno non è una fonte energetica primaria. Occorre produrlo, e questo costa energia e denaro. Giustamente l’autore ricorda che per esempio dalla produzione di idrogeno tramite l’elettrolisi fino alla ruota dell’autovettura ci sono parecchie trasformazioni: elettrolisi, idrogeno, compressione/liquefazione dell’idrogeno, distribuzione dell’idrogeno, cella a combustibile, elettricità, motore elettrico, movimento delle ruote. È ovvio che ogni passo di trasformazione implica perdite energetiche. E dietro ogni passo di trasformazione ci sono anche delle risorse (materie prime). Se parliamo per esempio di benzina, diesel, idrogeno o metano, dobbiamo fare un confronto completo fra tutte le materie prime, il consumo energetico globale, i rendimenti, i costi d’esercizio, le emissioni totali di gas serra e i costi di smaltimento di ogni singola tecnologia (benzina, diesel, idrogeno, metano). Ciò si chiama “life cycle assessment (LCA)”. In passato il Paul Scherrer Institut (PSI) faceva un ottimo lavoro di ricerca in questo ambito. Sarebbe quindi errato considerare superficialmente unicamente i due casi “nero (benzina)” e “bianco (idrogeno)”. Il problema è molto più complesso e ci sono molte tonalità di “grigio” in tutte le odierne tecnologie. Scienza, non ideologia! Reply
Au point 6.4 il serait juste de mentionner aussi la thermolyse (ou craquage) de l’eau catalysée avec le cycle Soufre-Iode qui peut se faire à 850 °C, soit à une température bien plus basse que les 1500 à 2000 °C mentionnés. L’un des réacteurs prévus pour cela dans la coopération internationale GIF (Generation IV International Forum) pour les réacteurs nucléaires de la 4e génération est justement du type VHTR, travaillant à cette très haute température de 850 °C. https://en.wikipedia.org/wiki/Generation_IV_reactor#Very-high-temperature_reactor Reply
En effet, cette voie est aussi possible. Cependant je la classerais comme variante sous 6.5, encore avec les divers professeurs Tournesol. Reply