Tous les petits chimistes savent qu’en brûlant des hydrocarbures classiques CnH2n, on met dans l’atmosphère autant de molécules d’eau ‘fossilisée’ par cet hydrogène fossile que de molécule de gaz carbonique …. ( et c’est deux fois plus avec le méthane!) et les plus évolués savent qu’Arrhenius avait fait hypothèse sur l’acide carbonique H2CO3, donc CO2 combiné à l’eau, et non avec le gaz carbonique seul… et là , ça change tout …!! IPPCistes/GIECistes sont les premiers à parler de pollution au SO2 et SO3 résultant en H2SO4, mais dans leur hydrophobie refusent la même démarche… (et vous pouvez même prendre le terme dans le sens britannique …!) Nou²rs Reply
Certains vrais climatologues sont obligé(e)s de publier ailleurs que dans les revues à comité de lecture qui censurent parfois les climato-réalistes. Quand l’article parait, par exemple ceux de Valentina Terechkova sur le Soleil dans « Nature », c’est big Google qui bidouille le référencement de façon à ne pas mettre le lien vers son article dans « Nature » quand on tape « Valentina Terechkova ». Il y a donc bien complot, je n’ai pas peur des mots interdits par la police de la pensée, et j’en profite pour dire que les gens appelés « complotistes » sont en fait ceux qui dénoncent des complots, donc en réalité sont des « anti-complotistes ». C’est le pouvoir des mots par l’inversion, et tout le monde s’y laisse prendre sauf ceux qui ont lu sur le fonctionnement du cerveau par mots-clés, comme le chien de Pavlov réagissait à une sonnerie. Dring? Climato-sceptique!! Redring? Antisémite!!! Médias de grands chemins pour chiens de Pavlov. Reply
Pour rappel, le débat scientifique se fait dans des revues à comité de lecture, ce qui permet un premier filtre pour ne pas raconter n’importe quoi. Si Judith Curry choisit de publier ses réflexions sur un blog, plutot que dans une revue scientifique, c’est qu’elle sait bien que son analyse est pourrie et ne peut abuser que les non-spécialistes. Sur quelle base peut elle affirmer que les variations « naturelles » océan et soleil sont nécessairement réchauffant ? Quite à partir sur des conjectures sans justification physique, pourquoi ne pas supposer que on aura un El Nino majeur qui durera pendant toute la décennie 2045-2055 ? De même pour l’irradiation solaire. Qu’est ce qui permet de penser que les impacts des variations de l’irradiation solaire sont nécessairement à la baisse ? Et pour répondre à l’ignorant auto-proclamé, OUI, le GIEC analyse l’impact des variations naturelles sur la température. Judith Curry le sait bien, mais joue sur le fait que ses lecteurs ne le savent pas Reply
Je vous rappelle que dans ses mails Phil Jones recommandait d’interdire les articles des sceptiques dans les revues à comité de lecture et que c’est le cas. De plus, ce n’est pas un article scientifique c’est juste une réflexion et une critique sur la méthode. Et elle a tout à fait raison, car les causes naturelles ne sont absolument pas envisagées. Elle a démissionné de son poste à cause de l’ostracisme que sa posture scientifique lui vaut. Reply
Cher Michel, Tes réflexions et tes questions sont très importantes. Il faut combattre l’hystérie actuelle. La vraie science ne prétend jamais la vérité absolue. On doit toujours pouvoir faire des questions. Reply