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En utilisant le  nouveau logiciel « formulize » que l’on peut télécharger gratuitement à www.nutonian.com, une corrélation a été établie liant les anomalies de température avec la concentration en CO₂, la transmittance des rayons solaires (réduite après des éruptions volcaniques), les phénomènes d’oscillations de courants dans les océans (El Niño – La Niña, océan atlantique), ainsi que les épisodes de taches solaires.

T_A = f(CO₂, TRAN, MEI, AMO, Spot)

Une équation relativement simple a été trouvée avec un coefficient de corrélation pas trop mauvais.

TA = 0.2440446458*AMO + 0.1134248525*delay(AMO, 5) + 0.06428597063*delay(MEI, 2)
+ 0.006701866248*delay(CO2, 9) + delay(TRAN, 2)*delay(TRAN, 10) – 3.046514859

en représentation graphique:

On notera la dépendance linéaire avec le CO₂.

Avec d’autres paramètre de départ on obtient une corrélation qui ne fait  intervenir le CO₂ que sous une variation cyclique (dans une fonction cosinus) mais non comme facteur d’accumulation:

TA = 0.09362477205*delay(MEI, 2) + 0.2932284049*cos(AMO + 0.03104125154*CO2
+ delay(AMO, 6) – 0.06208250307*delay(MEI, 2)) + delay(TRAN, 11) – 0.1405903365
– cos(delay(TRAN, 1))

Ainsi donc on reste dans le doute car il est possible de représenter le passé récent du climat sans forcément devoir faire intervenir une augmentation de température en relation directe avec la concentration en CO₂.

Il reste donc pas mal de travail pour les chercheurs.

Et aussi il faut plus de prudence et moins d’activisme dans la lutte contre les émissions de gaz carbonique, car cela pourrait se révéler inutile voire dommageable pour le développement.

Attention: une corrélation n’implique pas automatiquement une  relation de cause à effet.