Au bout de mon latin

Une grande partie des billets de ce blog sont consacrés aux questions climatiques et énergétiques. A force de tourner et retourner ces sujets j’en suis arrivé au bout de mon latin. Une page spéciale est maintenant consacrée à ce que j’appelle « écolo-guerre » qui, si elle n’est pas menée, sera remportée par le totalitarisme qui nous guette. Ces résumés sont ma modeste contribution à la mise en évidence de cette hystérie collective.

Le monde entier se laisse faire un lavage de cerveau à propos de la malignité des changements climatiques provoqués par ces salauds d’êtres humains. Il faut non seulement sauver la planète mais aussi se repentir par des actions de rationnement énergétique.

Le diagnostic est là. La thérapie serait de se calmer et de revenir à la raison, en prenant son temps et en exigeant plus de rigueur des scientifiques qui ont vendu leur âme à l’autel d’une Nature perdue, et plus de sens critique de tous les autres.

Au vu de la passivité générale, du défaitisme des élites et de l’activisme écolo-fasciste, les années prochaines risquent bien de coûter très cher, en dollars, sueur, larme et sang.

Une bataille est en cours en Suisse à propos de la stratégie énergétique que notre gouvernement et notre parlement ont décidé de mettre en œuvre.
Heureusement un premier volet est maintenant soumis à un vote référendaire.
S’il faut gagner cette bataille ce ne sera pas la dernière, bien au contraire.

On me dit que la politique climatique s’écroulera de soi même, que la meilleure tactique pour combattre les « transitions énergétiques » est la mise en évidence que les réductions de CO2 qu’elles exigent se révéleront contre-productives.
Je n’aime pas ces arguments car c’est entrer dans le jeu de l’anthropoclimatisme, donc admettre implicitement qu’il y a une bonne raison climatique à se couper des sources de 87% de l’énergie consommée dans le monde, les énergies fossiles et se déclarer d’accord avec les objectifs proclamés.
Alors ces tacticiens se feront mettre en demeure de proposer d’autres solutions pour atteindre ces buts de réduction d’émission et ce non-réchauffement de 2 °C, et ils se feront reprocher de n’avoir pas de plan B à proposer.

Ma réponse est tellement plus simple, plus radicale et ne coûte rien : ne rien faire !
Pas de politique climatique autre que s’adapter aux changements que la nature nous imposera, pas de transition énergétique aux forceps.

 


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