Le défi est immense de vouloir se libérer de la dépendance de 87% des sources d’énergies utilisées dans le monde. Cela ne se fera pas en abandonnant la technologie nucléaire, ni en croyant que les renouvelables actuellement promues –photovoltaïque, éolien, biomasse, petite hydro– soient la solution. Et cela prendra du temps. Mais une fois la cause climatique balayée, et la pseudo-urgence de sauvetage de la planète qui lui est liée, on s’aperçoit que nous avons ce temps, encore faut-il l’utiliser à progresser et non à défendre le statut quo.
Le rôle de l’état n’est pas de faire des promotions ou des interdictions technologiques, ou de prétendre planifier des changements dont la nature ne nous est même pas encore connue. Il a mieux à faire en définissant des bons objectifs et les normes qui les accompagnent et, surtout, en s’assurant que des conditions cadres optimales soient en place pour permettre aux nécessaires innovations de se faire.
Cet article, plus long que d’habitude, fait suite à un premier billet publié en mai dernier.
Voici un essai dans lequel est discuté ce qui est à faire ou à ne pas faire, le télécharger ici ou le lire ci-dessous.
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