Il ne s’écoule pas de jour où la pérennité de la vie sur Terre, en particulier celle des générations futures, ne nous soit présentée comme LE problème à résoudre dès aujourd’hui.

À peine nées elles se voient pétries dans une grande œuvre de propagande, en cours maintenant depuis au moins cinquante ans.  Le lavage de cerveau commence hélas très tôt, cela s’appelle de la maltraitance et mérite sanction des adultes qui organisent de telles mascarades.

Pour ma part je ne vois pas de différence entre les deux images ci-dessus. Celle de gauche est même plus abjecte car on ne s’attend pas de la part d’individus prétendant respecter l’état de droit qu’ils instrumentalisent les enfants pour servir leur cause imbécile, alors que c’est tristement banal chez les fanatiques de tous bords, pas seulement de l’état islamique. Au moins, dans ce dernier cas, les responsables de ces crimes se font châtier par voies militaires.

Le mythe de l’espèce humaine responsable des maux de la planète est endoctriné aux plus jeunes afin qu’ils se soumettent sans critique aux injonctions des grands gourous de l’Apocalypse écolo-climatique. Ces associations de criminels molestant les enfants ne se font pourtant pas réduire au silence, pas de bombardements par missiles air-sol, pas de lynchage par tweets interposés. Qu’ils soient papes, présidents (sauf un dont la raison n’en est pas une), caciques d’ONG écolo-subversives ou fonctionnaires délégués à des conférences mettant en scène les pires mensonges présentés comme dogmes irréfutables, ces perpétrateurs devaient au plus vite être empêchés de nuire. Ils s’arrogent le droit de sacrifier le libre arbitre des générations futures à l’autel de la globalisation climatisante, ils veillent à ce que toute hérésie à ce sujet soit réprimée dans l’œuf, ils écrivent d’avance une Histoire selon leur idéologie totalitaire. Les générations futures sont d’ores et déjà sacrifiées ; au vu du conditionnement qui leur est imposé, leur siècle des lumières n’est pas prêt de s’allumer.

Prenez garde aux appels faits en leur nom : il s’agit de bien s’assurer dès aujourd’hui qu’elles n’aient plus aucun autre choix. Mais soyez en même temps rassurés : ces-dites générations seront au moins aussi malines que nous pour s’inventer d’autres sottises.